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Une fenêtre météo se pointe et elle ne durera pas. Ben et moi nous y précipitons. En cette matinée du 11 novembre 2021, la mer n’est pas très docile, mais ça reste pêchable. Comme le coefficient de marée est faible nous avons moins de risque de charger nos leurres en goémons. C’est en traînant un leurre que nous pédalons tous deux juqu’à la strike zone. Ben est équipé d’un grand plongeur à bavette. J’essaye quant à moi un nouveau leurre à plus petite bavette, qui descendra moins. Je le suppose pêchant jusqu’à 8 mètres de fond car il descend à 2 mètres grand maximum. J’avais déjà les 2 petits frères de ce leurre OSP mais là, c’est le grand, le 130 (Riri, tu vois de quoi j’cause ? allez un p’tit effort, c’est bon pour Alzeihmer). Je continue cependant à le traîner par fonds plus importants. Le frein du moulinet se met à chanter et je ramène une petite aiguillette. Les oiseaux aussi semblent très actifs. Plus tard, par 14 mètres de fond, je serais attelé à un bar de 57cm : plutôt satisfaisant ce leurre. Il me gratifiera de pas moins de quatre bars dont trois maillés cette matinée-là. Les billes qu’il renferme créent sans doute la sonorité qui énerve les bars, et ses flans droits combinés à un rolling serré, envoient des éclats du plus bel effet. A part ça, au leurre souple je ferais quatre lieus jaunes.

Ben aura moins de succès côté bar mai sortira tout de même 3 beaux lieus jaunes dont une « poutre ».

A la sortie de l’eau nous avons le plaisir d’être accueilli par Yom qui nous paye un mousse – ça fait plaisir de retrouver un copain. Pas de vidéo pour cette fois. Un peu la flemme pour cette reprise où fallait déjà se rappeler tout le bordel qu’on emporte sur le kayak, sans oublier l’indispensable. Promis, le superflu sera de la partie prochaine.

++Dan (jaja29)